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changement de temps, changement de méthodes
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changement de temps, changement de méthodes
Bonjour,
j'ouvre ce nouveau fil, toujours lié au changement climatique pour alimenter la discussion sur les techniques à développer dans l'avenir pour s'adapter aux évolutions thermiques. Et cela bien entendu en gardant en tête que les techniques à développer doivent être elles-mêmes respectueuses de l'environnement et ne pas participer à l'augmentation de CO2 de la planète.
En gros, si vous avez l'intention d'installer une clim réversible au pied de votre clémentinier pour avoir du tiède en hiver et du frais en été, les clémentines vont revenir chères à votre porte-monnaie et à la planète (je plaisante bien sûr)
Donc il nous faut faire chauffer nos méninges pour trouver de nouvelles solutions pour pallier le manque d'eau et la surchauffe ou simplement redécouvrir ce que faisaient les agriculteurs dans les pays arides pour réussir à cultiver des légumes malgré l'absence d'eau.
Si vous avez des idées, c'est le bon endroit...
j'ouvre ce nouveau fil, toujours lié au changement climatique pour alimenter la discussion sur les techniques à développer dans l'avenir pour s'adapter aux évolutions thermiques. Et cela bien entendu en gardant en tête que les techniques à développer doivent être elles-mêmes respectueuses de l'environnement et ne pas participer à l'augmentation de CO2 de la planète.
En gros, si vous avez l'intention d'installer une clim réversible au pied de votre clémentinier pour avoir du tiède en hiver et du frais en été, les clémentines vont revenir chères à votre porte-monnaie et à la planète (je plaisante bien sûr)
Donc il nous faut faire chauffer nos méninges pour trouver de nouvelles solutions pour pallier le manque d'eau et la surchauffe ou simplement redécouvrir ce que faisaient les agriculteurs dans les pays arides pour réussir à cultiver des légumes malgré l'absence d'eau.
Si vous avez des idées, c'est le bon endroit...
cortejuan- Messages : 2318
Date d'inscription : 28/01/2015
Région : Haute-Saône, Franche-Comté
Activités : Rayé des cadres
Humeur : Râleur
Re: changement de temps, changement de méthodes
Je ne sais plus sur quelle chaîne (ce n'est pas moi qui gère la TV, j'ai un zappeur à domicile) tout à l'heure il y avait dans les infos un court reportage dans les Landes ou un agriculteur cultivait avec succès 40 hectares de ... cacahuètes. À première vue ça marchait très bien.
Bon, évidemment ça ne nous aide pas pour les arbres ou les ornementales.
Bon, évidemment ça ne nous aide pas pour les arbres ou les ornementales.
LardyMum- Messages : 2804
Date d'inscription : 16/05/2018
Région : Nord-Ouest de Narbonne-Nord Est de Lézignan
Humeur : curieuse
Re: changement de temps, changement de méthodes
Des cacahuètes why not ? Depuis des années, un gars s'est lancé dans la culture du safran dans le Haut-Doubs. A part le problème des campagnols, un vrai fléau chez moi, ça donne plutôt bien. A savoir si le safran de chez moi a la saveur du safran poussé en terre chaudes.
Pour en revenir à ma question, c'est sû qu'il va falloir changer de méthodes de culture, que l'on parle de fleurs, de potagers ou d'arbres fruitiers.
Deux problèmes vont se poser, paradoxalement apparemment opposés :
- gérer les chaleurs et sécheresses estivales
- gérer les périodes glaciales hivernales.
Dans le premier cas, il faut adapter nos cultures existantes au changement climatique. par exemple, la culture d'un légume très répandu, le poireau. Chez moi, j'ai renoncé à planter des poireaux au printemps. Ils ne poussent pas et montent avant d'avoir atteint un diamètre acceptable.
Dans le deuxième cas, il faut choisir pour nos nouveaux locataires (eucalyptus, lagestroemias, palmiers, bananiers, figuiers...) des expositions telles que les gelées violentes ou pires, tardives soient minimisées.
Là est tout le paradoxe, lutter contre le chaud et lutter contre le froid.
Enfin, il y a la gestion de l'eau. On voit se développer un peu partout l'installation de cubi d'un mètre cube voire moins. C'est un peu un cataplasme sur une jambe de bois. Un mètre cube est très vite consommé en période de sécheresse. Le moindre jardin potager de plus d'un are consomme beaucoup plus d'eau que la réserve ainsi stockée.
A nouveau, l'expérience des paysans des pays arides sera pleine d'enseignement. On sait déjà que le BRF dont je suis un adepte convaincu est une partie de la solution, mais il y a aussi les nouvelles méthodes de culture telles qu'en lasagne, en tour, en hydroponie, etc. L'association de plantes qui s’entraident est une vieille solution. Les latinos combinent depuis la nuit des temps la culture du mais et celle du haricot, l'un offrant le support,l'ombre et la fraîcheur, l'autre l'azote.
Donc là aussi, il va falloir faire marcher nos méninges pour pallier le manque d'eau sans ouvrir le robinet de l'eau publique.
Si vous avez une expérience aussi minime soit elle dans l'art de gérer ces problèmes on est tous preneurs...
Pour en revenir à ma question, c'est sû qu'il va falloir changer de méthodes de culture, que l'on parle de fleurs, de potagers ou d'arbres fruitiers.
Deux problèmes vont se poser, paradoxalement apparemment opposés :
- gérer les chaleurs et sécheresses estivales
- gérer les périodes glaciales hivernales.
Dans le premier cas, il faut adapter nos cultures existantes au changement climatique. par exemple, la culture d'un légume très répandu, le poireau. Chez moi, j'ai renoncé à planter des poireaux au printemps. Ils ne poussent pas et montent avant d'avoir atteint un diamètre acceptable.
Dans le deuxième cas, il faut choisir pour nos nouveaux locataires (eucalyptus, lagestroemias, palmiers, bananiers, figuiers...) des expositions telles que les gelées violentes ou pires, tardives soient minimisées.
Là est tout le paradoxe, lutter contre le chaud et lutter contre le froid.
Enfin, il y a la gestion de l'eau. On voit se développer un peu partout l'installation de cubi d'un mètre cube voire moins. C'est un peu un cataplasme sur une jambe de bois. Un mètre cube est très vite consommé en période de sécheresse. Le moindre jardin potager de plus d'un are consomme beaucoup plus d'eau que la réserve ainsi stockée.
A nouveau, l'expérience des paysans des pays arides sera pleine d'enseignement. On sait déjà que le BRF dont je suis un adepte convaincu est une partie de la solution, mais il y a aussi les nouvelles méthodes de culture telles qu'en lasagne, en tour, en hydroponie, etc. L'association de plantes qui s’entraident est une vieille solution. Les latinos combinent depuis la nuit des temps la culture du mais et celle du haricot, l'un offrant le support,l'ombre et la fraîcheur, l'autre l'azote.
Donc là aussi, il va falloir faire marcher nos méninges pour pallier le manque d'eau sans ouvrir le robinet de l'eau publique.
Si vous avez une expérience aussi minime soit elle dans l'art de gérer ces problèmes on est tous preneurs...
cortejuan- Messages : 2318
Date d'inscription : 28/01/2015
Région : Haute-Saône, Franche-Comté
Activités : Rayé des cadres
Humeur : Râleur
Re: changement de temps, changement de méthodes
… Sans compter que, du point de vue de la nutrition, céréale + légumineuse = protéine…Cortejuan a écrit:depuis la nuit des temps la culture du mais et celle du haricot
Du point de vue de la culture, on peut aussi ajouter la courge.
Veronica- Messages : 1500
Date d'inscription : 17/07/2022
Région : Hyères (zone 10)
Humeur : Espiègle
Re: changement de temps, changement de méthodes
Voilà qui résume bien l'affaire ! Je suis dans le même cas.Cortejuan a écrit:Là est tout le paradoxe, lutter contre le chaud et lutter contre le froid.
Et encore, dans un climat stable et régulier, on peut prévoir, apprendre et résoudre certaines problématiques. Mais dans un climat chaotique, comme il advient dans nos régions continentales, c'est à dire : chaleurs extrêmes, gels forts et aussi tardifs, redoux et refroidissements brusques, sècheresses anormales, etc...
non, les Amérindiens, les autochtones...Les latinos combinent depuis la nuit des temps...
+ les courges !la culture du mais et celle du haricot, l'un offrant le support,l'ombre et la fraîcheur, l'autre l'azote.
Mais là aussi, il faut beaucoup d'eau !!! C'est cultivé ainsi dans des régions à saison des pluies estivale, ce qui n'est pas notre cas !
Vincent24- xériquentrotre
- Messages : 10445
Date d'inscription : 30/04/2012
Région : Dordogne - Périgord noir
Humeur : flurp piti flurp
Re: changement de temps, changement de méthodes
Ah oui, j’ai dit latinos, je pensais bien sûr amérindiens. On ne va pas en plus attribuer leurs idées aux colonisateurs.
Un coup de règle sur les doigts, si si c’est merité.
Un coup de règle sur les doigts, si si c’est merité.
cortejuan- Messages : 2318
Date d'inscription : 28/01/2015
Région : Haute-Saône, Franche-Comté
Activités : Rayé des cadres
Humeur : Râleur
Re: changement de temps, changement de méthodes
Dans un reportage tardif sur Arte je crois, j’ai vu des agriculteurs polynésiens engraisser leur palmeraies avec ...des boîtes de conserves calcinées. Cette technique était déjà utilisée par leurs pères avant l’arrivée des engrais minéraux.
Et ça marche, d’une part, ça évite de transporter en conteneur d’une île à l’autre les déchets métal,iques, mais ça augmente la productivité.
C’est un peu hors sujet...
Et ça marche, d’une part, ça évite de transporter en conteneur d’une île à l’autre les déchets métal,iques, mais ça augmente la productivité.
C’est un peu hors sujet...
cortejuan- Messages : 2318
Date d'inscription : 28/01/2015
Région : Haute-Saône, Franche-Comté
Activités : Rayé des cadres
Humeur : Râleur
Re: changement de temps, changement de méthodes
Cela comble peut-être un manque de fer dans certains sols?
Au delà de cet aspect je me demande bien ce que cela peut apporter de plus
Au delà de cet aspect je me demande bien ce que cela peut apporter de plus
_________________
Jardin de 2007 à 2015 en Vendée, jardin parental dans le Var, balcon à Marseille.
tragus- zi-amaranthophylantrotrofou
- Messages : 32295
Date d'inscription : 02/02/2012
Région : Marseille
Humeur : A l'ouest
Re: changement de temps, changement de méthodes
tragus a écrit:Cela comble peut-être un manque de fer dans certains sols?
Au delà de cet aspect je me demande bien ce que cela peut apporter de plus
Je me pose la même question. Ce qui est étonnant c'est la nécessité de calciner les boîtes. Peut-être pour supprimer les protections plastiques (je ne sais pas si on utilise encor l'étain comme protection, en général c'est une couche interne de plastique). Le résultat ce sont des boîtes très oxydées.
En tout cas le possesseur de la palmeraie était très satisfait du résultat et il prétendait ne plus utiliser d'engrais minéraux.
Il n'est pas impossible que le sol soit carencé en fer, j'ai trouvé ses jeunes palmiers bien jaunes. Le fer ainsi apporté pourrait jouer le rôle de facilitateur d'assimilation des divers minéraux locaux nécessaires à la croissance des plantes.
Ce que je sais c'est que bourrer le sol de vieux clous pour faire bleuir les hortensias ça ne marche pas, en tout cas chez moi en sol argilo-calcaire à PH pourtant bas. Les hortensias virent au rose sale mais jamais au bleu éclatant des plants bretons ou des miens au pied des Vosges. Ces derniers issus de boutures bretonnes très bleues, étaient bien roses chez moi. Déplantés et replantés en terre basaltique, en une saison, ils étaient violemment bleus.
cortejuan- Messages : 2318
Date d'inscription : 28/01/2015
Région : Haute-Saône, Franche-Comté
Activités : Rayé des cadres
Humeur : Râleur
Re: changement de temps, changement de méthodes
le froid s'installe (peut-être...)
Voilà une méthode de protection hivernale pour les gens du nord et de l'est et d'ailleurs.
Tout d'abord, un petit cours de physique (ben oui, je suis physicien).
Pour ceux qui comme moi acclimatent à tout va, tout et n'importe quoi, il faut bien en hiver protéger nos plantes des froids dits polaires (aujourd'hui dixit les experts télé météo, à partir de -2, faudra en parler aux esquimaux, mais je m'égare).
Ceux qui ont la chance d'avoir des murs de pierre, c'est un atout certain. En effet, les murs captent la chaleur de la journée et la restituent la nuit. Pour bien comprendre l'intérêt de la chose, supposons que dans la journée, grâce au soleil, les murs voient leur température monter à 10 degrés et que, la nuit tombée, une bonne gelée fassent tomber la température à -5 degrés. Le mur va doucement rayonner et chauffer l'air ambiant. Pour s'en convaincre, supposons qu'il fassent 20 degrés dans une pièce et que l'on y place un radiateur rayonnant à 35 degrés. Sentirait-on la chaleur ? C'est sûr ! C'est la même chose à basse température même si nous, nous ne sentons que le froid...
Maintenant, supposons que l'on possède une plante frileuse placée contre un mur. Pour la protéger, la tendance et la tentation est de l'emmailloter comme un nourrissons au XIXième siècle. Pour résister au vent, on va même bien saucissonner la malheureuse frileuse. Grosse erreur, de la sorte, on se prive de la douce chaleur du mur puisque on a entouré complètement la plante.
LA solution est de placer la protection (voile ou plastique à bulle, de telle sorte que l'extérieur de la plante soit protégée du vent et du froid mais que la côté mur soit totalement libre. En gros, on fabrique une mini-serre avec chauffage tampon intégré.
Voilà une série de photos illustrant ce procédé sur un petit clémentinier dont les fruits ne sont pas encore totalement mûrs.
Pour cela ,
- on met deux piquets contre le mur tels que ceux de la photo.
- on prend du plastique à bulle (ici une chute) on lui fixe des œillets plastiques (que l'on trouve dans le commerce sur les sites dédiés aux serres par ex.)
- on fixe la protection avec des bouts de ficelle.
Et c'est tout, quand la température descendra vraiment, on pourra verser des feuilles mortes, de la paille mais sans tasser. S'il y a du vent, ça ne pourra pas s'envoler ni se déchirer (d'où l'intérêt des œillets). S'il fait soleil avec température douce, on libère l'attache supérieure pour éviter un échauffement trop important de la plante.
J'espère que je vous ai convaincu de cette modeste mais efficace technique.
Voilà une méthode de protection hivernale pour les gens du nord et de l'est et d'ailleurs.
Tout d'abord, un petit cours de physique (ben oui, je suis physicien).
Pour ceux qui comme moi acclimatent à tout va, tout et n'importe quoi, il faut bien en hiver protéger nos plantes des froids dits polaires (aujourd'hui dixit les experts télé météo, à partir de -2, faudra en parler aux esquimaux, mais je m'égare).
Ceux qui ont la chance d'avoir des murs de pierre, c'est un atout certain. En effet, les murs captent la chaleur de la journée et la restituent la nuit. Pour bien comprendre l'intérêt de la chose, supposons que dans la journée, grâce au soleil, les murs voient leur température monter à 10 degrés et que, la nuit tombée, une bonne gelée fassent tomber la température à -5 degrés. Le mur va doucement rayonner et chauffer l'air ambiant. Pour s'en convaincre, supposons qu'il fassent 20 degrés dans une pièce et que l'on y place un radiateur rayonnant à 35 degrés. Sentirait-on la chaleur ? C'est sûr ! C'est la même chose à basse température même si nous, nous ne sentons que le froid...
Maintenant, supposons que l'on possède une plante frileuse placée contre un mur. Pour la protéger, la tendance et la tentation est de l'emmailloter comme un nourrissons au XIXième siècle. Pour résister au vent, on va même bien saucissonner la malheureuse frileuse. Grosse erreur, de la sorte, on se prive de la douce chaleur du mur puisque on a entouré complètement la plante.
LA solution est de placer la protection (voile ou plastique à bulle, de telle sorte que l'extérieur de la plante soit protégée du vent et du froid mais que la côté mur soit totalement libre. En gros, on fabrique une mini-serre avec chauffage tampon intégré.
Voilà une série de photos illustrant ce procédé sur un petit clémentinier dont les fruits ne sont pas encore totalement mûrs.
Pour cela ,
- on met deux piquets contre le mur tels que ceux de la photo.
- on prend du plastique à bulle (ici une chute) on lui fixe des œillets plastiques (que l'on trouve dans le commerce sur les sites dédiés aux serres par ex.)
- on fixe la protection avec des bouts de ficelle.
Et c'est tout, quand la température descendra vraiment, on pourra verser des feuilles mortes, de la paille mais sans tasser. S'il y a du vent, ça ne pourra pas s'envoler ni se déchirer (d'où l'intérêt des œillets). S'il fait soleil avec température douce, on libère l'attache supérieure pour éviter un échauffement trop important de la plante.
J'espère que je vous ai convaincu de cette modeste mais efficace technique.
cortejuan- Messages : 2318
Date d'inscription : 28/01/2015
Région : Haute-Saône, Franche-Comté
Activités : Rayé des cadres
Humeur : Râleur
Re: changement de temps, changement de méthodes
oui, c'est un peu le principe de la ville de Menton , avec ses falaises , rochers qui chauffent le matin au soleil et évite les gelées la nuit
ou les briques que nos grands-parents mettaient au four et servaient de bouillotte
ou les briques que nos grands-parents mettaient au four et servaient de bouillotte
benji- Messages : 5761
Date d'inscription : 01/11/2016
Région : Limousin et l'Espagne Alicante
Humeur : variable
Re: changement de temps, changement de méthodes
Ici la tempête Ciaran a fait des ravages, je me suis retrouvé sans electricité pendant 12 jours et je viens seulement de récupérer Internet, la galère
j-m56- Messages : 214
Date d'inscription : 28/06/2021
Région : Bretagne (Morbihan)
Activités : Lecture, Jardinage, Randonnées
Re: changement de temps, changement de méthodes
je n'imagine même pas la galère pendant 12 jours
benji- Messages : 5761
Date d'inscription : 01/11/2016
Région : Limousin et l'Espagne Alicante
Humeur : variable
Re: changement de temps, changement de méthodes
Ici, au bout d'une demi-journée sans électricité, je me rongeais les sangs pour savoir comment j'allais faire pour sauver la marchandise dans le congélateur. Alors, 12 jours d'attente, ce doit être horrible ! Un de mes voisins (à 200 m) a été dans les mêmes conditions que vous. Je ne sais même pas s'il a du courant à ce jour. Il a installé un groupe électrogène.
Avalou- Messages : 1870
Date d'inscription : 16/07/2014
Région : Bretagne
Activités : Retraitée. Rando, vélo, lecture, jardinage.
Humeur : ça dépend du vent
Re: changement de temps, changement de méthodes
12 jours!
Mais c'est terriblement long ça!
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Jardin de 2007 à 2015 en Vendée, jardin parental dans le Var, balcon à Marseille.
tragus- zi-amaranthophylantrotrofou
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Date d'inscription : 02/02/2012
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